Grands Prix de la Création de la Ville de Paris 2019

Grands Prix de la Création de la Ville de Paris 2019

La Ville de Paris remettait, vendredi 29 novembre, les Grands Prix de la Création 2019, qui récompensent un talent émergent et un professionnel confirmé dans chacune des catégories design, métiers d’art et mode. Les jurys de l’édition 2019, constitués pour la 1ère fois de personnalités reconnues et d’experts des métiers de la création, distinguent 6 projets tous développés autour de l’upcycling.


Inédit cette année, Frédéric Hocquard, adjoint à la Maire de Paris, chargé de la vie nocturne et de la diversité de l’économie culturelle a demandé à 3 personnalités reconnues des métiers de la création d’endosser la robe de présidents du jury : India Mahdavi pour le design, Hugo Barrière pour les métiers d’art et Julien Fournié pour la mode.
Parmi les 200 candidats, les jurys ont sélectionné 10 projets dans chaque catégorie. À l’issue de leur délibération, ils ont remis 5 prix du « Talent émergent » à un professionnel dont le projet est particulièrement prometteur et 5 « Grands Prix » à un professionnel confirmé pour la qualité de son projet, sa stratégie de développement, et son engagement dans la transmission des savoir-faire ou l’innovation. En plus de la reconnaissance de leurs pairs, les lauréats des Grands Prix de la Création se voient doter de 15 000 €, dont 8 000 € proviennent de la ville de Paris. Une dotation enrichie par le Fonds de dotation des Ateliers de Paris par des partenaires privés : le Groupe Galeries Lafayette, la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin, ESMOD, Roger Pradier, la Fondation Rémy Cointreau et Victoire.

Catégorie Design

Natacha&Sacha désigné « Talent Émergent 2019 »

Le studio de design natacha&sacha repense l’usage de certains objets afin de répondre aux besoins sociaux et environnementaux. Le duo souhaite changer la façon dont on conçoit, produit et perçoit les objets technologiques et électroniques afin de les rendre plus désirables et donc durables.

www.natachasacha.fr / @natachaetsacha


Jean-Baptiste Fastrez lauréat du « Grand Prix »

Basé à Paris, le designer diplômé de l’ENSCI – Les Ateliers repense aussi les usages des objets en transférant les savoir-faire. Il travaille sur différents projets de produit et d’espaces, de la série limitée à l’édition industrielle pour des maisons telles que Kvadrat, Sèvres / Cité de la céramique ou Moustache. En 2019, il signe sa première exposition personnelle avec la Galerie kreo et présente une rétrospective de ses dix premières années de travail à Mayenne.

www.jeanbaptistefastrez.com / @jeanbaptistefastrez

Catégorie Métiers d’art

Le « Talent émergeant » William Amor

À travers ses compositions florales, William Amor se mue en conteur d’histoires. L’artiste réinvente le métier de parurier floral. Il spécialisé dans la valorisation des matières délaissées : ses ornements floraux nés de la pollution plastique visent à faire des déchets une matière noble du luxe. À sa démarche artistique, s’ajoute une dimension sociale, l’artiste s’entoure pour ses productions de personnes handicapées les petites mains d’or à qui il transmet son savoir-faire.

www.creationsmessageres.com / @william.amor

Le « Grand Prix 2019 » pour Cécile Feilchenfeldt

Cécile Feilchenfeldt est Suisse, a grandi à Munich, a fait ses études en design textile à Zürich et s’est installée à Paris en 2007. L’artiste utilise les techniques traditionnelles de tricot et de tissage pour expérimenter la matière. Des créations en nylon, rafia, lycra, coton ou cashemere qui racontent une histoire en 3D.

www.cecilefeilchenfeldt.com / @cecilefeilchenfeldt

Catégorie Mode

« Talent émergeant 2019 », Marianna Ladreyt

Fascinée par la toge grecque et la mythologie, l’artiste française joue avec les drapés pour les adapter à la modernité. Finaliste du Festival International de la Mode à Hyères en 2017, elle lance en 2018 une collection de sacs, aventure qui la conduit à lancer sa marque éponyme de prêt-à-porter et accessoires en février 2019.  Ses deux premières collections sont présentées durant la Fashion Week de Paris dans le showroom Designers Apartment au Palais de Tokyo.

www.mariannaladreyt.fr / @mariannaladreyt

« Grand Prix 2019 », Valentine Gauthier

Directrice artistique d’un concept store de lifestyle puis grande gagnante du Festival International des Jeunes Créateurs de Mode de Dinard juste avant le lancement de sa marque éponyme en 2007 et l’ouverture de sa première boutique en 2009, le parcours de Valentine reflète son état d’esprit : créatif, volontaire et passionné. En 2018, elle ouvre un flagship dans le Haut Marais à Paris, composé de deux boutiques et d’un appartement.


www.valentinegauthier.com / @valentinegauthierofficiel

Les Grands Prix de la Ville de Paris récompensent les professionnels et jeunes créateurs depuis 1993. À partir de 2003, le palmarès est scindé en 3 catégories distinctes : design, métiers d’art et mode. Chaque année à la rentrée, de nombreuses candidatures sont examinées par des personnalités qualifiées qui sélectionnent une dizaine de candidats dans chaque catégorie. Les finalistes sont invités à venir présenter leur parcours et leurs oeuvres lors d’une audition devant un jury d’experts (acheteurs, éditeurs, galeries, organisateurs de salons, architectes d’intérieur…) qui débattent et choisissent le lauréat. Outre la dotation, les lauréats bénéficient d’une visibilité offerte par les partenaires médias et associés, certains ayant fait partie du jury d’experts comme Intramuros.
Les 6 lauréats seront exposés à la Joyce Gallery du 4 au 19 février 2020 – 168 Galerie de Valois (75001).

Rédigé par 
Nathalie Degardin

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18/4/2025
La Fondation, rénovation hors pair

Brazil, c’est un peu l’esprit qui vous submerge quand vous entrez dans les locaux de La Fondation, 40 rue Legendre à Paris, trois bâtiments réunis par le promoteur immobilier Galia, conçu avec Philippe Chiambarretta Architecture, dans un esprit très Fondation Cartier ou LaFayette Anticipations. La direction artistique du projet a été assurée par Roman & Williams.

Étonnamment, on trouve dans ces 10 500 m2, un hôtel cinq étoiles, un café brasserie, un restaurant bistronomique, un bar en rooftop/terrasse, une piscine semi-olympique, un spa, hammam, sauna, un mur d’escalade de 10 m, un espace d’exposition et d’événement, des jardins suspendus et…des bureaux.

Dix années de travaux

Il a fallu dix années de travaux au Groupe Galia, une entreprise familiale qui restructure les bâtiments obsolètes en hôtels 5 étoiles ou en Auberge de Jeunesse, pour aboutir à ce projet luxueux. En 2012, Galia achète non loin des Batignolles, un ancien parking avec une rampe d’accès reconnaissable entre mille, à l’image de la rampe du Musée du Quai Branly et trois autres bâtiments voisins, avec l’ambition de créer un lieu de vie, un hôtel et des bureaux où l’on puisse vivre « comme à l’hôtel ». L’agence Roman & Williams qui a fait l’Hôtel Le Standard à New-York, un lieu unique, du spa à la petite cuillère, s’est attaché au projet avec l’ambition d’afficher un bilan carbone au plus bas, tout en exposant des œuvres artistiques et en organisant des expositions non-stop sur l’année en particulier dans la rampe.

© Romain Ricard pour la Fondation

L’exercice de la transformation

Philippe Chiambarretta, l’architecte, rapproche son projet de celui d’un cinéma, comme aux Halles, coincé entre la piscine, le spa et les bureaux… un projet très hybride, avec les mêmes services pour tout le monde. « L’exercice de la transformation pour des questions d’environnement, de préservation et de réemploi in situ, c’est l’avenir même de l’architecture, expliquait-il. Même avec un existant très contraint, il est possible d’en révéler le charme et de le rendre plus humain. Pour quiconque habitué à vivre dans des lofts, le Quartier Central des Affaires parisien et sa hauteur sous plafond à 2,70 m peut être très ennuyeux mais c’est un des enjeux de l’architecture de l’avenir : réinventer des usages et travailler avec des architectes d’intérieur pour imaginer un scénario et une mise en scène de terrasses, qui amènent la fraîcheur exigée par la hausse des températures, due au dérèglement climatique. »

© Romain Ricard pour la Fondation

Un lieu exceptionnel

Pour Terlia, l’exploitant, c’est un lieu exceptionnel qui sort de la routine, qui mixe, travail, loisir et bien-être. Les nouveaux locataires - La CCI, Data Brick, le Cabinet Bartle Management et Galia - l’ont bien compris. L’offre en restauration est très présente avec un restaurant en bas, avec un chef Thomas Rossi, un ancien de chez Piège. Au 10ème étage, le rooftop a été aménagé pour des soirées cocktails sur mesure. En sous-sol, à côté de la salle de sport équipée en Technogym, on trouve un coffee shop et un juice bar protéiné.

© Salem Mostefaoui pour PCA

Amélie Maison d’Art a assuré la curation et gère la programmation culturelle à l’année, du DJ set avec un auditorium de 80 places, au décor des espaces communs pour vivre ensemble harmonieusement. C’est un lieu unique pour des clientèles ‘différentes’ parce qu’ici « on prend soin de vous » avec un luxe discret et le sentiment d’hospitalité au sein de tous les espaces se ressent dès le premier pas. À l’Accueil, les 28 plafonniers en laiton et verre ont été soufflé bouche par les verreries de l’île de Bréhat. Le restaurant propose son menu Piège sur des plateaux de table en marbre jaune de Sienne aile d’avion, monté sur des pieds cannelés en chêne et inox poli. Sur les murs, l’œuvre de Vedran Jakšić est composée de 48 panneaux en chêne massif sculptés et teintés à la Lina Bo Bardi. Le bas-relief du bar est signé du même artiste. Ailleurs, l’œil avisé reconnaîtra du LC1 de Charlotte Perriand pour Cassina, des canapés Arflex ou des fauteuils Wittmann. Le comptoir du bar de la Brasserie en étain a été réalisé par les ateliers Etain de Lyon. Du presque local.

© Romain Ricard pour la Fondation

The place to be

Les bureaux ont été livrés en septembre 2024, pour 3 ou 6 ans. La Fondation est une résidence d’esprit(s) libre(s) disponible pour une location de 2, 3, 6, ou 9 ans dans des espaces déjà décorés, de 750 m2 minimum à 5000 m2. Une rénovation de 10500 m2 en totalité avec un hôtel de 3000 m2, avec 58 chambres et 3 suites, et un premier prix à 300€ la nuitée. Les 1500 m2 du toit terrasse et du jardin apportent de la fraîcheur. Les 2000 m2 des espaces sportifs (abonnement à l’année 2700€), et le soin breton Ho Karan (Je t’aime) développé pour le Spa, en font un futur to-be lieu.

© Salem Mostefaoui pour PCA
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4/4/2025
La Kasbah Tamadot, le luxe d'une nuit dans l'Atlas

Créée par Richard Branson, Virgin Limited Edition est une collection d’hôtels aux architectures inscrites dans leurs environnements comptant parmi les plus beaux de la planète.

Après la téléphonie, l'aérospatiale ou encore la musique, Richard Branson s'est lancé depuis plusieurs années dans le secteur de l’hôtellerie de luxe. Comptant neuf établissements, Virgin Limited Edition propose aux clients une expérience de voyage basée sur le bien-être et le dépaysement. Implantés aux quatre coins de la planète, de la Suisse au Kenya en passant par les îles vierges, l’entrepreneur britannique mise sur des lieux atypiques et majestueux où la beauté du paysage souligne l'architecture. Cette dernière, imaginée en cohérence avec la culture locale, offre un voyage sensoriel et visuel. C'est dans cet esprit qu'a été conçue la Kasbah Tamadot, nouvelle adresse de la prestigieuse liste de destination du groupe.

© Virgin Limited Editon

Les mille et une vie

Construite dans les années 1920 comme résidence du gouverneur local, la Kasbah Tamadot est implantée dans le petit village d’Asni, au pied des montagnes de l'Atlas, au Maroc. Ancienne propriété de Luciano Tempo, antiquaire et collectionneur italien, elle est acquise par Richard Branson en 1998. Une transaction qui comprend notamment un entrepôt rempli d'objets d'art, pour certains encore visibles dans le bâtiment. Rénové en profondeur en 2005 par Yvonne Golds de Real Studios, il devient un hôtel où s'entremêlent la douceur de vivre et le caractère historique et mystérieux des kasbah traditionnelles. Lorsqu'en 2023, le séisme frappe le nord du Maroc, le bâtiment est touché, nécessitant une seconde rénovation. C'est à ce moment-là que six riads et un second restaurant, Asayss, sont ajoutés au plan initial ainsi que dix tentes berbères.

© Virgin Limited Editon

Un décor naturel

Voulue en harmonie avec le paysage paisible dans lequel elle s'intègre, la Kasbah Tamadot demeure, malgré ses multiples évolutions et son esprit luxueux, dans l'esprit berbère. Dessiné autour d'un bâtiment central entouré d'escaliers menant à diverses cours et terrasses, le complexe offre une atmosphère reposante et intimiste grâce à ses hautes façades crénelées couleur ocre. Ponctué de patios verdoyants, chaque niveau s'ouvre sur l'extérieur. Conçue par Luciano Tempo, la terrasse de la piscine devenue un lieu de vie central de l'hôtel, offre une vue dégagée sur la chaîne de montagne environnante.

Sous les toits en toiles de tentes imaginés comme un hommage au style de vie ancestral, la décoration intérieure invite au dépaysement. Les objets chinés dans les souks de Marrakech et d'ailleurs et les pièces léguées par l'ancien propriétaire, sont mises en valeur par les travaux d'artisans tisserands locaux visibles dans la plupart des quinze chambres, toutes de couleurs différentes. De quoi se ressourcer pendant quelques jours, à l'écart du tumulte des grandes villes, avant de peut-être prolonger l'expérience à l'autre bout du monde.

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2/4/2025
La 8e Biennale Émergences se tiendra du 10 au 13 avril

La 8e édition de la Biennale Émergences se tiendra à nouveau au Centre national de la danse, du 10 au 13 avril. Intitulée « 9ter, destination métiers d’art », cette nouvelle édition propose de découvrir le travail de 56 créateurs minutieusement sélectionnés.

Avec près de 3 000 visiteurs recensés lors de l’édition 2023, la Biennale Émergences revient pour une nouvelle édition, toujours en partenariat avec Est Ensemble. Le commissariat a de nouveau été confié à Hélèna Ichbiah et Véronique Maire, déjà à l’œuvre lors de l’édition précédente. Ensemble, elles ont sélectionné 56 participants parmi plus de 300 candidatures, afin de mettre en valeur le meilleur de la création contemporaine.

L’objectif principal est de valoriser la création locale — 70 % des projets retenus sont issus du territoire — tout en représentant une scène émergente avec des profils variés. Certains créateurs sont jeunes diplômés, d'autres plus expérimentés, avec une tranche d’âge allant de 24 à 67 ans, offrant un véritable éventail d’approches et de sensibilités. L’édition 2025 est parrainée par Samuel Accoceberry et Bruce Cecere, fondateurs de la marque SB26, qui présenteront également, en marge de l’exposition principale, une sélection de leurs créations.

Une édition articulée en six tableaux

Pour structurer le parcours de la Biennale, les deux commissaires ont défini six « tableaux », construits autour des projets sélectionnés : Ouvrage moderne, Nature crue, Nouvelle excellence, Super simple, Futur archaïque, Non standard. « Cette édition s’articule autour de la transmission et du lien entre visiteurs et exposants. Ce qui est le plus important, c’est de rendre visible au plus grand nombre », confient-elles. Chaque tableau propose une expérience immersive pour découvrir les démarches créatives à travers dessins, maquettes, prototypes, échantillons, vidéos et objets finis.

Les 56 créateurs se répartissent comme suit :

• Ouvrage moderne : Atelier Dreieck, L’Établissement, Grégory Lacoua, Laurel Parker Book, Atelier Noue, P+L Studio, Studio Poudre, Atelier ST, Julia Trofimova — une sélection autour de l’innovation contemporaine, entre tradition et modernité.

© Noue Atelier

• Nature crue : Atelier Baptiste & Jaïna, Julie Bergeron, Cédric Breisacher, Abel Cárcamo Segovia, Luce Couillet, Materra Matang, Sara Mauvilly, Christine Phung & Célia Nkala, Fanny Richard, Colombe Salvaresi, Alice Trescarte, Céline Wright & Johan Després — des créateurs inspirés par la nature, ses matériaux et ses textures.

© Fanny Richard

• Nouvelle excellence : ansu studio, Xavier Brisons, La Compagnie du Verre, Atelier Font & Romani, Quentin Vuong, Christine Mathieu, Eudes Menichetti et Audrey Schaditzki — une mise en lumière du travail d’orfèvrerie, avec un souci du détail et des savoir-faire d’exception.

© Quentin Vuong

• Super simple : Pauline Androlus, César Bazaar, Théo Charasse, Guillaume Delvigne, Pierre Layronnie, Studio Lauma, Laure Philippe et Hermine Torikian — ici, l’évidence n’est jamais banale, portée par le principe « less is more ».

© Theo Charasse

• Futur archaïque : Chloé Bensahel, Jean-Baptiste Durand, Jules Goliath, Joris Héraclite Valenzuela, Marion Mailaender + Atelier Delisle, Baptiste Mairet, Marion Mezenge, Lou Motin, Studio Noff, Studio Quiproquo, Raphaël Serres, Alec Vivier-Reynaud, Lucas Zito Studio — une réflexion sur la mémoire comme levier pour penser le monde de demain.

© Jules Goliath

• Non standard : Wendy Andreu, Stéven Coëffic, Jonathan Cohen, Jean Couvreur, Prisca Razafindrakoto, Baptiste Vandaele — des créateurs qui explorent de nouvelles techniques industrielles ou remettent en question la production de série.

© Steven Coëffic

Des ateliers et animations en parallèle

En marge des six tableaux qui composent l’exposition principale, des ateliers seront proposés tout au long de l’événement, animés notamment par la Galerie du 19M, le fonds de dotation Verrecchia, et le GRETA ébénisterie du lycée Eugène Hénaff de Bagnolet.

La Biennale Émergences ouvrira ses portes le jeudi 10 avril et se tiendra jusqu’au dimanche 13 avril au Centre national de la danse (CND) à Pantin. Une exposition gratuite, qui s’impose comme un rendez-vous francilien incontournable pour les passionnés - ou non !- de design et de métiers d’art.

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4/4/2025
Fermob présente la collection Parisienne 21, une ode à l’art de vivre à la française

Inspirée des iconiques chaises des bistrots parisiens, la collection Parisienne 21 rend hommage à l’élégance et à l’héritage français, tout en incarnant parfaitement l’essence du design Fermob.

Conçue spécifiquement pour l’hôtellerie et la restauration, Parisienne 21 associe, tant dans son nom que dans son design, raffinement et chic à la française. Une revisite audacieuse qui défie les traditions pour proposer des modèles élégants et contemporains, alliant héritage et innovation.

Apporter une touche de modernité

Composée d’une chaise et d’un bridge, la collection Parisienne 21 a été imaginée par le studio de design Fermob avec l’ambition de capturer l’essence même de Paris, entre souvenirs, imaginaires collectifs et codes actuels. Chaque pièce est tressée à la main et réalisée en aluminium, incarnant ainsi le design du XXIe siècle. « Avec Parisienne 21, nous avons dessiné la collection que j’attendais, celle que je voulais à l’image de ce 21e arrondissement onirique, ou de celui des séries TV américaines. Chaque courbe, chaque ligne est pensée pour le beau, le confort et la prise en main. Son tressage manuel permet des déclinaisons subtiles en couleurs et en motifs », confie Bernard Reybier, président de Fermob.

Collection Parisienne 21 © Fermob

Allier confort, qualité et savoir-faire

Au-delà de son esthétique, la collection Parisienne 21 se distingue par ses qualités techniques, combinant légèreté, robustesse et praticité. Faciles à déplacer et empilables, ces chaises s’adaptent à tous les espaces. Conçues en métal – un savoir-faire que Fermob perfectionne depuis plus de 35 ans –, et recouvertes d’un tissage outdoor ; elles offrent ainsi une résistance optimale aux conditions extérieures.

Chaise Parisienne 21 © Fermob

Deux modèles, huit déclinaisons

En matière de personnalisation, la chaise et le bridge se déclinent en trois motifs de tressage distincts : Essentiel, Lignes et Prestige, chacun proposé en plusieurs coloris. La gamme Essentiel propose les coloris Réglisse, Gris Argile et Cerise Noire, la gamme Lignes est déclinée en une version Miel, Cactus et Cerise Noire tandis que Prestige est disponible en Cerise Noire et Gris argile. Les professionnels pourront également personnaliser les assises grâce au service Affaires Spéciales de Fermob.

Plus d'informations en cliquant ICI.

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