EquipHotel OSE pour son édition 2024
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EquipHotel OSE pour son édition 2024

Le salon bisannuel B2B dédié au secteur de l’hôtellerie-restauration revient du 3 au 7 novembre prochain. Une nouvelle édition, dont le programme sur le thème « Osons ! » a été dévoilé plus en détails lors de la conférence de presse donnée le jeudi 20 juin. 

Pour son édition 2024, le salon EquipHotel qui se tiendra à la Porte de Versailles, présentera plus de 1200 exposants venus de France et d’Europe pour mettre à l’honneur la crème du secteur de l’hôtellerie-restauration. Le thème de cette année « Osons ! », est une invitation à oser de nouvelles approches des hospitalités, innover et proposer davantage de créativité. « L’édition 2024 est celle de l’audace collective. Le secteur reprend des couleurs, les fréquentations et le chiffre d’affaire de l’hôtellerie est similaire aux chiffres de 2019, ce qui implique que la crise covid est bien derrière nous » expliquait notamment Béatrice Gravier, la directrice du salon. Une édition tournée donc sur le renouveau et la transition, en offrant de nouvelles opportunités « à tous les acteurs qui savent faire de l’hôtellerie et qui veulent réinventer les codes. »

Quatre halls : Design, Tech & Services, et Foodservice 

Autour de 4 axes principaux : mettre en avant des personnalités qui savent fédérer et bousculer les codes de l’hôtellerie traditionnels, donner la place à de nouveaux talents, contacter des hôteliers et partenaires qui osent l’innovation pour se différencier ainsi que l’engagement RSE, l’ambition du salon est à nouveau de continuer à faire grandir le secteur par les rencontres et l’innovation. Cette année encore, le salon sera divisé en quatre halls. Le 7.1 sera l’espace Wellness dédié au bien être et mieux être, un secteur en forte croissance. Dans le hall 7.2, l’espace Design présentera des nouveautés en termes de mobilier outdoor et indoor. Tech & services prendra place au sein du hall 7.3, axé sur la technologie et les projets de rénovation et d’aménagement. Enfin, le hall 4 sera occupé par l’espace Foodservice avec son lot de conférences et workshops, accompagnés de chefs engagés qui font la gastronomie d’aujourd’hui et de demain. « Le salon est comme une grosse boîte à outils ; notre objectif est de mettre en relation, aider et accompagner au mieux les professionnels tant au niveau stratégique qu’au niveau économique » a notamment annoncé Béatrice Gravier.

Une collaboration inédite avec l’Ameublement français et OKKO Hotels

Pour cette édition, l’engagement RSE et l’environnement sont des critères au cœur des discussions. Dans cette optique, le salon EquipHotel s’est associé à l’Ameublement français dirigé par Max Flageollet et le groupe OKKO Hotels de Solenne Ojea-Davys pour « Oser l’esprit d’équipe », en faisant travailler tous les acteurs ensemble, dès la genèse du projet, avec une logique RSE engagée. « On a voulu accentuer sur la notion de confidence, de transparence et de co-construction » expliquait Solenne Ojea-Davys. De ce fait, deux chambres témoins seront réalisées en collaboration avec les architectes d’intérieur Émilie Roz (EROZ), Laure Grabulos et Pauline Marcyniuk (Laune Architecture), avec le soutien de Valdélia et la FCBA.

Des nouveautés au sein des espaces d’inspiration 

Pour penser ses espaces inspirations, le directeur artistique Jean-Marc André a décidé de mettre en place une dizaine d’espaces d’inspiration pour illustrer l’audace collective, en gardant toujours en tête les enjeux RSE. « Au moment de penser ces espaces, nous avons comme problématiques de faire en sorte que ces lieux tiennent la route sur toute la durée du salon, mais le côté éphémère de ces espaces nous oblige forcément à penser à l’après » a-t-il confié. Ainsi, plusieurs acteurs ont pris part à l’élaboration de ces lieux. Marie Deroudilhe est chargé d’élaborer la suite Lobby, le hall d’accueil du salon transformé en Hall d’hôtel pour l’occasion. Le duo Briand & Berthereau s’occupera de l’espace VIP & Presse, en misant notamment sur l’espace et l’usage avec simplicité. Pour son lounge des chefs grand de 200m2 et pouvant accueillir 95 couverts, le salon a fait appel à l’artiste-peintre Franck Lebraly pour réaliser une fresque monumentale. Enfin, le bar Signature a été imaginé par Cécile Chenais et Laurent Maugoust qui ont décidé de mettre en scène le tissu. 

Espace VIP et Presse imaginé par Briand & Berthereau ©EquipHotel

En parallèle, et pour la première fois, le salon proposera un concept pour son Inspiration Gallery  avec une exposition inédite intitulée “Confidences pour confidences”. Une présentation de quatre univers pensés par la designeuse Fanny Perrier, l’architecte Marco Lavit, l’architecte d’intérieur Oscar Ono et le duo d’architectes Marthe Simon & Paul Peller avec comme contraintes de mettre en avant, au sein d’un espace de 30m2, la même pièce de mobilier qu’est le confident. 

Présentation de l'espace de Marco Lavit pour l'exposition "Confidences pour Confidences" ©EquipHotel

De nombreuses conférences et remise des Innovations Awards 2024 

Comme chaque année, le salon proposera une série de conférences thématiques au sein de ses différents halls. Le programme complet est à retrouver sur le site du salon. Concernant les Innovations Awards, dont le jury sera présidé par Emmanuel Sauvage, ce sont cette fois 6 prix qui seront remis : Design, Foodservice, Wellness Tech & Services, mieux-être des employés (Prix spécial) et Hôtellerie et Restauration. Les candidatures sont d’ailleurs ouvertes jusqu’au 6 septembre. Informations et inscriptions : https://innovationawards.equiphotel.com/live/fr/page/home 

Rédigé par 
Maïa Pois

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21/3/2025
Intramuros #223 : Italia !

L’Italie, l’amour et nous

Un Italien, c’est un Français amoureux. Amoureux du beau, de l’usage, du confort, mais aussi du risque. Un Français faisant confiance à l’intuition des créateurs, à leur inventivité, à leur folie.

Durant la Renaissance et lors de l’après-guerre, l’Italie fut le centre du monde créatif. Ne cessant de se remettre en question, des années 1930 jusqu’aux années 1980, du Gruppo 7 jusqu’à la Tendenza ayant abouti, in fine, au postmodernisme, le design italien a su s’appuyer sur un esprit entrepreneurial intuitif parce que culturel.
Comme les plus belles des idées ne peuvent changer le monde qu’à condition d’être appliquées, l’Italie a su construire un tissu industriel puissant, performant et innovant, fait de grandes entreprises mais également d’artisans au savoir-faire unique, mêlant traditions et recherche perpétuelle de progrès, au service d’une qualité reconnue dans le monde entier.

Et ce sont peut-être les Français qui en parlent le mieux, de Norguet à Massaud en passant par Jouin et Gallina : tous, s’ils vantent un sens aigu de la compréhension des créatifs, reconnaissent les vertus du modèle italien où chaque artisan ou petite entreprise est ultraspécialisé, ne cherche pas à cannibaliser son voisin, préférant la collaboration fidèle au grignotage de parts de marché, la fraternité et la solidarité à la diversification tous azimuts.

Cet esprit de famille, que l’on retrouve dans la genèse des grands éditeurs, semble être la valeur fondamentale de la success-story du design italien. Une solidarité, une entraide, une forme d’approche clanique dans la recherche de croissance et, surtout, de qualité, faisant de bâtisseurs sur plusieurs générations les phares internationaux dans la recherche immuable du dessin parfait transformé en bel objet.

Et si nous rassemblons, pour la première fois, des entreprises et des institutions françaises au sein d’Intramuros Milano x Labò, c’est parce que nous aussi, en France, nous avons de grands éditeurs et de grandes institutions, d’uniques savoir-faire et de talentueux créateurs.
Plus que jamais, « Intramuros » doit les soutenir et les valoriser pendant cette semaine internationale du design, à travers un investissement humain mais aussi matériel, faisant rayonner les Français ayant pris le risque fou de rendre notre pays plus beau.

Sommaire

Design 360

Italian Story

Design industriel, un ancrage territorial et durable

Esprit de famille(s)

Luce

Lien affectif, le design au quotidien

Made in Italy, quand les mains s’expriment

Brionvega, Technogym, Boffi : le design comme ADN

Prada : La liberté de créer depuis plus de cent ans

Vespa et Fiat 500 : Iconico per l’eternità

Milan, capitale mondiale du design

Rising Talents

Formafantasma, ou le design analytique

E-ggs : le sens du collectif

Alessandro Stabile : le design sans limites

Dans le laboratoire de Marco Campardo

Elena Salmistraro. Hybride et joyeux

Draga & Aurel, Grands écarts

Les racines de Giuseppe Arezzi

Simone Bonanni, un designer visionnaire au service de l’émotion

Alessandro Zambelli, conteur d’objets

Elisa Ossino : formes, volumes et abstraction

Brogliato-Traverso : La méthode d’appropriation

Marni, dans les bras de Francesco Risso

Valerio Sommella, L’alliance parfaite entre innovation et tradition

French Touch

Jouin, Norguet, Massaud, Gallina : born in France, made in Italy

Intramuros Milano x Labò

Labò

Mobilier National

Campus MaNa

K3

Duvivier Canapés x Lelièvre

Source Edition

Bureau du Design, de la Mode et des Métiers d’Art de la Ville de Paris

Ego Paris

Objekto

International Design Expeditions

Prix Amour Vivant

L'ameublement Français exporte les savoir-faire

Brossier Saderne

Roger Pradier x Pyrex

Marc Brétillot

Extreme

Experimenta

Laboratoires des pratiques durables

In the Air

Biennale de Saint-Etienne

Agenda

Retrouvez ce numéro en kiosque mais aussi directement sur notre boutique en ligne.

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20/3/2025
Mynt : la mécanique du confort selon Erwan Bouroullec

Erwan Bouroullec et Vitra présentent Mynt. Une chaise ergonomique et polyvalente, inscrite dans la continuité du travail du designer, et rendue possible grâce au développement d'un nouveau mécanisme répondant aux besoins du corps.

C'est une assise dont l'apparente simplicité structurelle s'inscrit dans un parti-pris design basé sur l'innovation mécanique. Éditée et développée avec l'aide de Vitra, la dernière création d'Erwan Bouroullec, Mynt, est une chaise polyvalente aux lignes fines et discrètes. Pourtant, derrière cette allure passe-partout, se cache un objet particulièrement technique et innovant. Imaginée pour être « véritablement ergonomique » grâce à son mécanisme central dissimulé, Mynt réunie l'approche contemporaine du designer et l'histoire moderniste de cet incontournable : la chaise.

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Une matérialisation de la vision Bouroullec

C'est une chaise dont la genèse est surtout celle d'une vision. « Lorsque Ronan et moi avons commencé à travailler avec Vitra il y a plus de 20 ans, nous nous sommes attaqué à la question du meuble qui, jusqu'alors, allait souvent de pair avec une personne et une fonction donnée. Ça donnait parfois des espaces un peu ratés parce que l'objet était machinique, la décoration forcée ou les matériaux mal choisis. Nous nous sommes dit qu'il ne fallait plus penser l'ergonomie du poste de travail, mais progressivement s'attaquer à l’endroit dans sa globalité, penser l'ergonomie de groupe. » raconte Erwan Bouroullec. Le duo de designer se lance alors - entre autres choses - dans la chaise de bureau, avec pour volonté de « despécifier » les objets. « Si vous installez des chaises de bureau dans une cafétéria, vous aurez tendance à figer les utilisateurs. L'idée a donc été de mettre des meubles polyvalents. Au lieu de faire des chaises de travail, on a fait des chaises. Au lieu de faire des tables de travail, on a fait des tables comme Joyn. » C'est selon cette ligne polyvalente et adaptable que Mynt a été pensée.

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Faire corps avec l'objet

« Ma vision du design est assez darwiniste. Je vois les choses à travers leur évolution. Comme le premier canapé résulte d'une déformation progressive du banc, la chaise de travail vient de la machine à écrire, puis du clavier, puis de l'écran. Bref, une nouvelle manière de travailler qui a progressivement rendu le corps statique. » Un constat sur lequel le designer a construit sa réflexion combinant l'impératif contemporain de produire en étant assis, et le besoin instinctif de bouger. Autrement dit, favoriser la concentration grâce au maintien du corps dans un état d'équilibre actif (comme sur un vélo par exemple). Pour cela, Erwan Bouroullec s'est notamment intéressé à l'évolution mécanique des assises. « Au XIXe siècle, les premiers mouvements du dos ont été permis grâce à l'invention de la chaise tournante. Un siècle après, le tilt (inclinaison simultanée de l'assise et du dossier) a fait son apparition permettant la création du mouvement synchronisé dans les années 70 et 80. » Ce dernier permet selon un rapport de proportionnalité représenté sous forme d'une courbe, d'incliner le dossier de 5 ou 10 degrés lorsque l'assise est penchée de 10 ou 20 par exemple. « Mynt c'est donc ça, désynchroniser encore plus le mouvement synchronisé de sorte à libérer davantage le corps et ses mouvements inconscients. »

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Mécaniser efficacement le mouvement

Fruit d'une collaboration de longue date entre la maison d'édition spécialisée dans la création de mécanismes et le designer, Mynt a nécessité de longs échanges. « Le principe même n'était pas très complexe, mais j'avais besoin d'un système novateur et précis adapté à des sièges grand public. On ne fait pas un vélo avec un moteur de Ferrari ! Je ne voulais pas faire une chaise toujours plus qui se rapproche de l'univers du gaming ou tout est réglable, mais au contraire, un travail d’ingénierie qui permette de faire le minimum, mais efficacement » résume le designer. Car si le siège du gameur à l'avantage du tout réglable, il n'est « ni plaisant esthétiquement (trop de boutons et de rampes) ni polyvalent dans la vie quotidienne car il est si personnalisable que chacun finit par avoir besoin du sien ».

Pour Mynt, Ronan Bouroullec a de fait évacué tout le superflu. Le cinquième pied – traditionnel sur les chaises de bureau - a disparu après de nombreuses études techniques visant à amincir au maximum les quatre autres, et l'axe central à lui été diminué de quelques centimètres, supprimant ainsi les positions les plus hautes ainsi que les plus basses, peu utilisées. Deux démarches visant à simplifier et à alléger formellement et environnementalement la chaise. « Une branche d'arbre est élégante et naturelle parce que les embranchements eux-mêmes sont utiles. Il y a donc un lien entre l'élégance et l'efficience structurelle. » Une inspiration visible au niveau du rattachement fluide des accoudoirs à la partie basse. Réalisé par encastrement, il permet de relier le dossier flottant à l'assise de manière visible. Un parti-pris tout aussi technique qu'esthétique voulu par le designer pour qui « l'élégance permet au corps de se sentir bien ».

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17/3/2025
Les solutions AxProconcept présentées au salon HR Meetings

L’entreprise spécialisée dans la fabrication de matériaux de finition à destination de l’hôtellerie AxProconcept sera présente au salon HR Meetings, à Cannes du 18 au 20 mars. L’occasion de découvrir les solutions innovantes et durables de l’entreprise, notamment sa dernière nouveauté : la moquette AxBio®.

C’est au sein du Palais des festivals et des congrès, le salon Hotels&Restaurants Meetings, salon de référence one to one à destination du secteur de l’hôtellerie et de la restauration, accueille une nouvelle édition les 18,19 et 20 mars. Parmi les exposants, l’entreprise AxProConcept, donne rendez-vous aux professionnels de l’hôtellerie sur le stand A20 afin de présenter ses produits et dernière solutions.

AxBio®, une solution qui allie innovation et durabilité

Parmi son offre complète de solutions FF&E clés en main pour les hôtels et les navires de croisière, l’entreprise souhaite mettre l’accent sur sa dernière nouveauté en date et unique sur le marché : l’AxBio®. En effet, le produit est une moquette tissée en Axminster, 100 % biodégradable, fabriquée exclusivement à partir de matières naturelles. “Chez AxPro Concept, nous croyons fermement que le design doit allier beauté et responsabilité. Le lancement d’ AxBio® marque une étape clé dans notre engagement à offrir des produits respectueux de l’environnement tout en répondant aux exigences des secteurs comme l'hôtellerie et croisières” déclarait notamment le CEO de la marque Robert Lenko. La moquette AxBio® est fabriquée à partir de fibres de laine naturelles, lui offrant une résistance au feu et lui permettant de réguler l'humidité intérieure. Un produit d’avancée majeure pour le secteur, tant pour ses avancées écologiques que pour son offre en termes de confort et d’esthétisme, qui permet par ailleurs aux hôteliers de participer activement à la démarche ESG (Environnement, Social, Gouvernance).

En plus de sa présence sur le stand, le produit AxBio® a été sélectionné parmi les finalistes du concours Innovation Award, organisé dans le cadre d’Hotel & Restaurant Meetings, dont les lauréats seront dévoilés lors du salon.

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14/3/2025
BYD et DJI présentent un drone pour automobile

Les marques chinoises BYD et DJI s'associent et présentent un système de drone adapté à l'automobile, permettant aux utilisateurs de transporter et utiliser leur appareil partout et tout le temps.

L'invention à de quoi surprendre. Sorte d'héliport miniature ultra technologique et mobile, le système Lingyuan est un concentré de technologies, encastré ou suspendu sur le toit du véhicule. Développé par la marque automobile BYD et celle spécialisée dans les drones, DJI, ce système, accessible au grand public, se destine notamment à la surveillance et à la création de contenu. Hébergé dans un sorte de « coffre de toit » miniature, Lingyuan à été développé en à peine quatre ans sur l'excentrique Yang Wang u8 (véritable monstre tout-terrain de quelques 3,5 tonnes), avant d'être étendu moins d'un an plus tard à l'ensemble des véhicules de la marque. Disponible uniquement en Chine pour des raisons législatives, le drone est disponible en deux versions : l'édition LingYuan Battery Swap, conçue principalement pour les modèles YANGWANG et équipée d'un drone DJI Mavic 3 ; et l'édition Lingyuan Fast Charging, qui utilise un drone DJI AIR 3S personnalisé et équipe les véhicules DENZA et certains modèles BYD.

©BYD


Un concentré de technologies

Autonome grâce à un système de localisation précis – qui permet notamment à l'appareil de venir se ranger dans son emplacement lorsque le véhicule roule jusqu'à 25km/h – le drone peut également être piloté depuis l'application smartphone. Un usage qui permet entre autres de réaliser 30 modèles de prise de vue prédéfinies, depuis le ciel, mais également depuis le véhicule grâce à une caméra présente au niveau de l'héliport. Doté d'une plate-forme de recharge à induction directement alimenté par la voiture, ce dernier permet une recharge rapide, faisant passer la batterie de 20 à 80% en 30 minutes. Un système sans doute un peu gadget, mais qui permet de prendre la route avec un peu de hauteur !

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