5 idées de livres à offrir

5 idées de livres à offrir

Découvrez 5 livres méticuleusement choisis parmi les dernières parutions. Au programme : cuisine, street art, architecture et urbanisme.

Banksy, tout ou presque sur l’inconnu le plus célèbre au monde

Chapeau ! conclut John Brandler dans sa préface. Ce chef étoilé a su prendre les ingrédients de base, le pochoir et la vitesse, pour transformer le vandalisme en œuvre d’art grâce à un style d’humour unique et politisé qui ne supporte pas d’être sorti du contexte. Alors, faut-il conserver Banksy ? le stocker ? détruire les murs qui supportent ses œuvres ? C’est une question politique que se posent tous les restaurateurs de villes, restaurateurs au sens violent de la chose, ceux qui percent des tunnels, ou font du remblai les supports à de nouveaux emblèmes de la ville moderne. Car rien n’arrête le vent sauf quand les sentiments, le militantisme et l’activisme prennent le dessus. L’art urbain est dans la rue et la poésie dans ce livre.

Banksy, tout ou presque sur l'inconnu le plus célèbre du monde.
Préface de John Brandler. Texte d'Alessandra Mattanza. Editions Alternatives.
240 pages. 29,90€

La beauté d’une ville, controverses esthétiques et transition écologique à Paris

L’objet est toujours sujet à controverse. Que l’on parle de son site, de ses bâtiments, de ses jardins…personne ne sera jamais d’accord. Car une ville s’envisage sous de multiples angles et ce ne sont pas les 56 experts sollicités pour donner leur avis qui pourront pacifier le sujet. Conçu comme une promenade, l’ouvrage nous invite à ouvrir les yeux sur notre environnement et à s’interroger sur une transition écologique qui est arrivée trop tôt ou tarde à arriver pour certains. Sous trois grands thèmes – Héritages, Emergences, Prospective – tous les sujets de notre époque sont abordés : l’art urbain du maraîchage, les conflits de stationnement, le chiffonnier du futur ou les lois esthétiques de l’hospitalité… des sujets éternellement actuels et modernes. D’Isabelle Backouche à Chris Younes, les avis se confrontent dans un ouvrage bible, en soit un exploit de typographies et de mise en page où le design est présent partout, insidieusement latent.

La beauté d’une ville, controverses esthétiques et transition écologique à Paris, Collectif. Pavillon de l’Arsenal/ Wildproject Editions.
680 pages. 39,00€

La Maison de Verre, Portraits croisés, Dalsace/Charreau

Focus sur un monde dont la richesse intellectuelle, culturelle, artistique ne cesse de fasciner. Marc Vellay replonge dans les archives de ses grands-parents, Annie et Jean Dalsace commanditaire auprès de Pierre Chareau et de son épouse Dollie, de cette fantastique maison de verre, icone architecturale du 20ème siècle. Textes, lettres, photographies dessinent l’époque de l’entre-deux-guerres où une société des plus cultivées s’est épanouie jusqu’à l’impensable fracture de l’Holocauste. On y croise Jean Lurçat, Jeanne Bucher, Jacques Lipchitz, Darius et Madeleine Milhaud, les familles Wolf, Dalsace et Chareau sur trois générations, photographiés en famille, sur le front, ou dans les espaces sereins de leur merveilleuse maison à Paris ou à la maison de Villeflix à Noisy-le-Grand avec Berthe et Edmond Bernheim, des extraits de récit de vie, des témoignages de premières rencontres intimidantes avec Pierre Chareau, des photos de Dollie en Espagne… une correspondance de guerre, une correspondance de paix où il est question d’art, d’amour et de politique. Et des photos à toute époque de la Maison de verre avec ses mobiliers, tentures, peintures et sculptures, et tous les papiers relatifs à la transformation du 31 de la rue Saint-Guillaume, les dix années de dépenses et d’entretien. Un voyage à travers le siècle.

La Maison de Verre, Portraits croisés, Dalsace/Charreau. Marc Vellay.
Editions du Regard. 326 pages. 39,00€

Ré : Habiter, Réutiliser, Transformer, Expérimenter

Après Habiter les ruines, Habiter les toits, Habiter l’air, Olivier Darmon s’attaque à une nouvelle attitude qui ne consiste plus à raser pour reconstruire dessus mais à tirer profit des structures pour offrir une nouvelle manière d’habiter. Les plus grands architectes sont conviés dans cet ouvrage avec une approche sensible et pragmatique qui ne vise pas à détruire mais à valoriser les usages antérieurs du bâtiment. Lacaton & Vassal avec le Palais de Tokyo, De Vylder Vinck Taillieu avec le centre psychiatrique Caritas fondé en 1908 aux alentours de Gand, Ensamble Studio avec la Maison de la Terre, carrière désaffectée sur l’île de Minorque où l’on trouve encore sur les blocs les griffures laissées par les outils des carriers. Tous prônent une architecture qui travaille en mesurant l’impact de ses gestes. Les interventions doivent révéler l’espace tout en livrant son histoire. L’architecture devient un cadeau, un trésor spatial révélé. Au frontière du land art, de la sculpture et de l’architecture.

Ré : Habiter, Réutiliser, Transformer, Expérimenter, Olivier Darmon,
Editions Alternatives. 180 pages, 32,00€

Dix façons de cuisiner

Depuis trente ans les éditions de l’Epure sous la direction de Sabine Bucquet font le bonheur des amateurs de cuisine mais surtout de graphisme, de couleurs, de typographie et de pliage. Tous les fruits, tous les légumes, toutes les viandes et tous les poissons sont passés dans les mains des plus grands chefs pour donner à chaque fois « dix façons de la préparer… » la tomate, la courgette, le veau, la sardine… En trente ans, 331 titres sont parus, fabriqués en France et à moindre coût. Un cadeau idéal pour les familles nombreuses où chacun peut trouver le thème qui va directement plonger le récipiendaire dans les affres d’une cuisine au gramme près, où vous n’avez pas intérêt à manquer de sel de l’Himalaya ou de graines de pavot du Sichuan. Ce petit livre objet de 24 pages à délicatement aborder avec un coupe-papier accorde à chaque fois la couleur de ses pages au sujet cuisiné. Cuisiniers, professionnels ou amateurs, architectes, musiciens, stylistes… s’expriment en chœur autour d’un sujet qui fera toujours l’unanimité : le repas. Derniers sujets : la poitrine, la langue, le cul…un tantinet érotique mais avant tout rassasiant.

Dix façons de le préparer…
Editions de l’Epure, 24 pages, 9,00€

Rédigé par 
Bénédicte Duhalde

Vous aimerez aussi

Temps de lecture
6/5/2024
“Infraviolet”, l'exposition hétéroclite de Ludovic Roth

Exposé jusqu'au 1er juin dans la galerie Chamagne-Hardy, le designer Ludovic Roth propose de découvrir “Infraviolet”. Une collection inclassable qui s’illustre par sa diversité.

Designer depuis une quinzaine d'années, Ludovic Roth expose jusqu'au 1er juin sa collection Infraviolet à la galerie Chamagne-Hardy située dans le VIIe arrondissement de Paris. Riche de 17 objets parmi lesquels des miroirs, des tables, des lampadaires ou encore des vases, la collection frappe par son éclectisme total. Fruit d'un travail de deux années mené occasionnellement en binôme, Infraviolet invite le visiteur à côtoyer des objets aux apparences souvent inédites.

De la diversité à tous les niveaux

Par l'absence d'unité formelle et plastique, le designer pose les codes d'un travail de conception sensible qui puise comme rare caractéristique commune, la présence de couleurs vives et des lignes épurées. Selon lui, « L’emploi de la couleur peut apporter un souffle de légèreté salutaire. » Une vision qu'il a poussée en diversifiant les médiums dont le PVC, le miroir, mais surtout le bois et le métal. Deux éléments qu'il mêle au travers de compositions très graphiques radicalement contemporaines.

Particulièrement intéressé par la matérialité et la fantaisie, le créateur passionné de sciences et de techniques a mis au point un traitement lui permettant d'obtenir un rendu irisé sur le métal. Un processus qu'il travaille depuis 3 ou 4 ans et qu'il déploie pour la première fois au sein d'une collection. « La couleur m’évoque le plaisir de créer, d’insuffler par l’objet une certaine gaieté à un intérieur. Nombreux sont ceux qui ressentent l’impact de la couleur et apprécient sa capacité à conférer à un objet une autre dimension, au-delà du "sérieux" de sa rigueur formelle » analyse le designer.

Un parcours international

« Deux années de développement ont été nécessaires pour mettre au point Infraviolet. Elles m’ont offert la possibilité de repousser les limites de ma pratique » analyse Ludovic qui cumule les projets internationaux depuis son diplôme obtenu en 2008 auprès de l'Ecole Bleue. Intéressé par la conjugaison des savoir-faire artisanaux aux techniques actuelles pour élaborer de nouveaux design, le créateur est aujourd'hui sollicité dans les domaines de l'architecture, de l'audio et de l'horlogerie. Une renommée sacrée par l'acquisition en 2022 de son luminaire Cosse en cuir et acier par le Mobilier national.

Temps de lecture
7/5/2024
Le quartier de Soho accueille sa nouvelle boutique Cartier

La marque française de haute joaillerie Cartier ouvre une nouvelle boutique dans le quartier new-yorkais de Soho.

Déjà présente à New-York et notamment sur la célèbre 5e avenue, la maison de haute joaillerie française ouvre une nouvelle boutique. Situé plus au sud dans le non moins célèbre et gentrifié quartier de Soho, ce nouvel espace de vente fait dialoguer les codes de la marque avec ceux de son environnement urbain.

Au rez-de-chaussée, la bijouterie propose un décor chic ou s'accumule les nombreuses références au quartier ©Cartier

Une boutique pensée comme un trait d'union

Imaginée par Laurène B. Tardrew et Romain Jourdan de l'agence studioparisien, cette nouvelle adresse du luxe mêle passé et présent. Les éléments métalliques patinés ainsi que les briques du décor rappellent l'histoire industrielle du quartier tandis que la neutralité des matériaux constructifs évoque quelque chose de plus contemporain et luxueux. Au cœur de cette alliance de style, des œuvres d'art en hommage aux mouvements artistiques ayant émergés sur la côte Est, parmi lesquels le pop art et le street art, apportent des touches colorées. Des teintes qui font écho à certaines assises, rares éléments dotés de vert ou de violet.

Le bar propose une ambiance chaleureuse et conviviale dans un décor ou s'entremêle les lignes de la pierre, du tissu et du bois ©Cartier

Quatre niveaux, quatre espaces, quatre ambiances

Conçus pour différents usages, chacun des quatre étages de l'édifice entièrement dédié à la marque propose au client une découverte des produits ainsi que des lieux de détente. Au rez-de-chaussée, la longue galerie d'accueil expose les produits dans de petites vitrines et sur les étagères murales métalliques conçues en résonance avec la structure en acier du plafond. Pièce maîtresse et fil conducteur au sein du bâtiment, l'escalier décoré de la panthère fétiche de Cartier conduit à l'étage supérieur où se trouve le bar. Cet espace, le plus coloré et décorativement détaillé d'entre eux, tient à favoriser l'échange et la convivialité. « Nous avons privilégié la douceur et la féminité, en accompagnant nos dessins de lignes courbes et pures, parfois ponctuées de quelques touches d'extravagance et de couleurs exprimées dans un grand mur décoratif panthère » confie le duo d’architectes de Studioparisien.

Au troisième niveau, un appartement baigné de lumière sert à la fois d'espace d'exposition et d'invitation ©Cartier

Relativement sombre par rapport aux autres pièces, le bar s'inscrit en opposition radicale avec le deuxième étage pensé comme un appartement. Lumineux et neutre dans ses teintes, cet espace contemporain imaginé pour servir lors d'événements et de divertissements exclusifs, est le dernier niveau couvert. Au-dessus, la boutique se termine par une terrasse végétalisée. Cerné par deux pignons en briques, ce jardin propose un espace intimiste et verdoyant dominant l’une des artères principales du cœur artistique et branché de la grosse pomme.

Petit luxe de la boutique, le rooftop en plein centre de Soho invite à prendre le soleil dans un cadre particulièrement luxueux ©Cartier
Temps de lecture
3/5/2024
À Milan, Pedrali comme à la maison

Au Salone del Mobile, Pedrali a déployé ses nouveaux modèles au gré d'un vaste stand aux allures de showroom coloré.

De la salle à manger à l'espace de détente en passant par le jardin. C'est dans ce qui s'apparente à une vaste habitation en tissu de 900m² que Pedrali  a mis en scène ses nouveaux objets lors du Salone del Mobile de Milan, début avril. Forte de onze collections, pour certaines inédites, la marque italienne a souhaité reconstituer des lieux de vie. En accordant une réelle importance aux couleurs, le studio milanais DWA Design Studio, à qui l'on doit la scénographie d'exposition, proposait aux visiteurs d'accélérer le temps pour passer en l'espace de quelques instants, des pièces baignées d'une lumière matinale bleutée, à celles illuminées d'un crépuscule orangé. Des mises en scène sobres mais évocatrices, grâce auxquelles les objets semblent projetés dans un environnement semi-réel.

L'espace Pedrali mis en place lors du Salone del Mobile ©Ottavio Tomasini

Le temps d'un déjeuner solaire

Midi sonne, le soleil est haut dans le ciel et l'ambiance est particulièrement solaire. Une atmosphère qui résonne avec les couleurs acidulées d'Héra Soft, la dernière chaise de Patrick Jouin pour Pedrali. Avec son dossier suspendu par un piètement haut, l'assise à l'allure aérodynamique entre en résonance avec la table Rizz de Robin Rizzini. Soutenu par quatre pattes métalliques de section triangulaire, l'élément central de la salle à manger dégage une âme très animale en partie due à la linéarité cassée des pieds. Un détail porteur d'un caractère froid, mais rehaussé par l'éclairage des lampes Tamara de Basaglia Rota Nodari.

Chaises Héra Soft de Patrick Jouin et table Rizz de Robin Rizzini ©Ottavio Tomasini

Repas terminé, direction le salon adjacent conçu par CMP design. Ici, les lignes sont moins strictes, les volumes y sont enveloppants et invitent à prendre son temps. Avec son armature en bois de frêne massif tout en courbe, le canapé deux places Lamorisse ainsi que ses fauteuils lounge, invitent à un début d'après-midi convivial. Autour, les tables basses Blume dessinées par Sebastian Herkner finalisent l'ambiance sereine et délicate de la pièce.

Canapé et fauteuils Lamorisse et tables basses Blume de Sebastian Herkner ©Ottavio Tomasini

Prendre le soleil partout et comme on le souhaite

Lorsque certains discutent à l'intérieur, d'autres profitent d'un moment plus reposant sur les poufs Buddy Oasi. Extension d'une collection à succès de la marque, ces modules de Busetti Garuti Redaelli sont la version extérieure du Buddy classique destiné à l'origine pour la maison. Semblables à des galets géants aux courbes polies, ces conceptions qui se multiplient et se déplacent au grès du soleil, s'approprient en fonction des envies. Ledossier mobile, lesté avec une base antidérapante, se déplace librement sur toute la surface. Fabriqués en polyuréthane pour résister aux intempéries, ils se conjuguent avec les tables basses en béton Caementum de Marco Merendi et Diego Vencato.

Poufs Buddy Oasi de Busetti Garuti Redaelli ©Ottavio Tomasini

Une fin d'après-midi, comme un regard en arrière

Le ciel devient rose et le début de soirée s'annonce. Il fait encore bon et l'heure est à la discussion dans ce qui ressemble désormais plus à une cafétéria de plein air. Une ambiance joyeuse et familiale transmise notamment par les chaises Philía d'Odo Fioravanti. La structure en acier dans laquelle vient s'entremêler un tissage en cordon PVC unis ou bicolore rappelle joyeusement la dolce vitae des 60's italiennes. Une époque, symbole de design à laquelle on repense assis autour des tables Ysilon de Jorge Pensi Design Studio, la tête dans les fougères.

Chaises Philía d'Odo Fioravanti ©Ottavio Tomasini

Une fin de journée qui entend bien accorder du temps au prélassement

Étape ultime et inratable d'une journée passée dans le confort du mobilier Pedrali, Ester Lounge signée par Patrick Jouin propose dans une ambiance plus tamisée. Initialement présentée en 2013, l'assise monolithique revient cette fois sur le devant de la scène dans une approche plus douce et harmonieuse. Avec son dossier incurvé surmonté d'un ovale qui signe la collection de sa forme, le fauteuil s'est élargi pour accueillir sans contrainte l'utilisateur. Imposante mais esthétique par ses volumes et ses pieds en aluminium moulé, Ester Lounge répond aux luminaires sans fil Giravolta et ceux suspendus Isotta, tous deux de Basaglia Rota Nodari. Une concordance entre les éléments qui procurent à Pedrali l'atmosphère chaleureuse d'une maison chic et libre d'appropriation.

Fauteuils Ester Lounge par Patrick Jouin et luminaires sans fil Giravolta suspendus Isotta de Basaglia Rota Nodari ©Ottavio Tomasini
Temps de lecture
2/5/2024
Diptyque propose une collection tournée vers l’extérieur

La marque parisienne Dyptique dévoile une nouvelle collection d'objets pour ramener un petit peu d'extérieur dans nos intérieurs.

Pour sa dernière collection, Diptyque semble avoir fait un pas de côté, si ne sont plusieurs, pour s'égarer volontairement en pleine nature. Tournée vers le nomadisme, Summer Decoration invite à prendre le temps de se reconnecter avec l'extérieur. Par une petite collection d'objets délicats un temps délaissés, la marque réinstaure une forme de lien entre l'homme et son environnement.

Fin et léger, le soliflore se transporte partout pour ramener un brin de nature dans son intérieur ©Diptyque

Conserver l'éphémère à domicile

Que ce soit pour s'installer et prendre le temps en pleine nature, ou ramener un morceau d'éphémère chez soi, Summer Decoration en offre l'occasion. Le soliflore en verre entouré d'un étui en cuir réalisé en collaboration avec Coco Brun est l'ami utile pour transporter la trouvaille d'un jour, en attendant que celle-ci rejoigne l'un des vases Médicis. Réalisés artisanalement en cire bleue, la couleur fil rouge  de la collection, ces modèles sont inspirés des vases antiques. Et si immortaliser ce qui ne l'est pas vous tente, Diptyque propose un presse fleurs, un accessoire du passé qui revit aujourd'hui pour permettre aux fleurs d’exister encore longtemps.

Le presse fleurs permet d'immortaliser la flore éphémère par nature ©Diptyque


Mettre en lumière les moments qui comptent

Spécialisée dans l'univers de la bougie et de ses senteurs, la collection propose bien sûr deux photophores et une lanterne. Ces premiers en verre côtes plates soufflés dans un atelier verrier français sont disponibles en deux tailles. Réinterprétés par le studio Jean-Marc Gady, ils sont un hommage au fondateur de la maison qui collectionnait les bocaux. À ces objets faits pour éclairer la nuit, s'ajoute le couvercle pyramide qui garantit une bonne conservation des bougies et de leurs parfums entre deux combustions.

Transportables et design, les lanternes sont idéales pour une soirée chic en bord de mer ©Diptyque

Éclairé par le soleil estival ou à la lueur d'une bougie, la collection bohème au design bourgeois dessine le retour de la poésie florale au cœur de notre été.

Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir chaque semaine l’actualité du design.