Etudiants
A l’occasion du Salon Mondial de l’Optique Lunetterie qui aura lieu à Villepinte du 23 au 26 septembre 2022, le SILMO a décidé de lancer son concours de design optique à destination de tout étudiant, majeur et inscrit dans un cursus de design. Pour cette première édition, la présidence du jury a été confiée au designer Emmanuel Gallina. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 3 juin.
Afin d’encourager les designers à se tourner vers le design d’objets d’optique, le SILMO Paris organise son concours de design optique international. À destination des étudiants de 3e, 4e et 5e année d’un cursus de design, le concours a pour objectif d’encourager les étudiants à se tourner vers un autre type de design. Ce dernier est ouvert à des projets seuls ou en groupe.
Les critères d’éligibilité au concours SILMO 2022
Les projets proposés devront logiquement s’inscrire dans une démarche liée au design d’optique. Verres, montures, objets connectés, matériels pour les opticiens… les possibilités sont nombreuses dans le secteur. Les projets présentés seront ensuite jugés selon leur dimension design, créative et innovante, de l’usage et de la fonction du produit, de la faisabilité intrinsèque du projet et de l’intégration d’une démarche de responsabilité sociale et environnementale.
Les dates importantes à retenir
3 juin 2022 : date limite des inscriptions sur la plateforme : https://www.silmoparis.com/Visiteurs/Etudiants/Concours-Design-Optique-2022
Juin 2022 : Pré-sélection pour retenir les meilleures candidatures. Le jury international composé de designers professionnels et présidé par Emmanuel Gallina pour cette première édition se réunira ensuite en septembre 2022 pour départager les candidats retenus.
Juillet-Septembre 2022 : annonce par mail des candidatures retenues, puis phase de prototypage des design retenus, puis sélection du lauréat.
23 septembre 2022 : Remise de prix du concours sur le salon mondial de l’optique lunetterie qui se tiendra du 23 au 26 septembre à Villepinte.
Le prix décerné à l’issue du concours récompensera à part égale le candidat et l’école de formation. Ils se partageront ainsi la somme de 10 000€ et l’étudiant aura la possibilité d’exposer son projet tout au long du salon 2022, et pourra également exposer ses projets et travaux lors de l’édition 2023.
Pour cette 8e édition du concours Gainerie 91, les étudiants ont planché autour du storytelling des marques de luxe. Ils ont été invités à créer : « un moment unique et surprenant permettant à une marque de se dévoiler plus intimement à son client mais aussi d’intensifier le lien émotionnel entre l’utilisateur et son objet ». Plus de 300 candidats ont ainsi déposés des projets autour du packaging ou d’une PLV offrant une expérience client nouvelle.
Le concours Gainerie 91 est destiné aux étudiants en design, jeunes diplômés depuis moins d’1 an et résidant en France, il a pour objectif de stimuler la créativité des étudiants dans le domaine du packaging du luxe. À savoir, les propositions les plus innovantes et créatives sont bien sûr récompensées, mais aussi prototypées dans les ateliers du Groupe Gainerie 91. Comme ont pu en témoigner d’anciens lauréats lors de la remise de prix, c’est un atout important pour leur parcours professionnel ultérieur.
Les lauréats ont reçu cette année un trophée nouvellement désigné par le studio Noir Vif , à la croisée du stylo d’un designer et du plioir en os, outil à tout faire de l’artisan gainier. Il est réalisé en inox et décliné en 4 versions : or, argent, bronze et or rose mat.
1er prix « Galets de papier » GUILLAUME BRISSOT - École Condé Lyon
« Une boîte blanche qui lors de son ouverture révèle un motif protecteur. Une surprise que réserve la marque à sa cliente, une petite attention qui témoigne de l’importance qu’a la marque pour elle. Cette attention se manifeste au moment où le parfum devient véritablement celui de la cliente et rentre dans sa vie. »
RÉCOMPENSE : 1 PC ASUS Pro Art ou un chèque de 2500 €
2e prix « Kabuki » ROMANE GAULTIER & CATHELLE DENOUE- École de design Nantes Atlantique
« Ce packaging renferme un paysage japonais typique des décors Kabuki. Cette scénographie monochrome, invite l’usager à créer sa propre narration théâtrale. Ce packaging se présentant aussi comme une PLV, nous invite à vaporiser et sentir l’odeur du parfum directement sur les parois du packaging. »
RÉCOMPENSE : 1 chaise Eames Plywood group DCW o u un chèque de 1500€
3e prix « Message in a Bottle » BENOÎT CHARRIÈRE –École de design Nantes Atlantique
« En ces temps de doute et où la solitude a pris une nouvelle dimension à cause des confinements, j’en suis venu à imaginer la joie des gens pouvant recevoir un message d’une manière originale dans une bouteille. »
RÉCOMPENSE : une imprimante 3D Résine + recharge ou un chèque de 1000€
Prix du Public : « ParcheVin » RAPHAËL COUSTRE-MIANNE- Ecole d'architecture de la ville & des territoires Paris-Est
« Le parcheVin se matérialise par l’assemblage de bandes de liège rigide, liées par le cuir extérieur et ce de façon à donner au liège toute sa noblesse, tout en convoquant l’univers de l’oenologie. »
RÉCOMPENSE: un abonnement annuel Adobe Creative ou un chèque de 800 €
La sélection
Après un premier examen et accompagnement par les équipes de Gainerie 91, les finalistes ont exposé oralement leur projet devant un jury de professionnels, attentifs aux critères suivants : qualité du dossier (forme, contenu), respect du marché du luxe, faisabilité technique (notamment par Gainerie 91), innovation, design et pour cette édition : originalité de l’expérience proposée.
Cette année, le jury était composé de :
– Guillaume Lehoux, et André Fontes, Designers et co-fondateurs du Studio Noir Vif
– Alexandra Lefebvre, Chef de groupe achats développement PLV uniformes – Cartier
– Aurélien Szpunar, Responsable des études Mobilier sur Mesure – Hermès
–Stéphane Lefondeur, Responsable Pôle Développement – Pernod Ricard
– Nathalie Degardin, Rédactrice en chef, Intramuros
– Leonard Pallardy, Designer technique – Gainerie 91
– Delphine Eschasseriaux, Directrice Commerciale – Gainerie 91
– Coraly Caponi, Designer Création et innovation – Gainerie 91
En septembre prochain, la toute jeune CY école de design, au sein du campus universitaire de Cergy, fera sa première rentrée. Et proposera une formation innovante, globale, pour positionner les designers parmi les futurs décideurs.
Dominique Sciamma a quitté Strate, qu’il a dirigé pendant sept ans, pour se lancer dans un projet innovant : CY école de design, incluse à CY Cergy Paris Université, au sein de l’école d’ingénieur CY Tech. Accueillie dans CY Alliance, qui regroupe quatre graduates schools et treize grandes écoles, dont l’Essec Business School, elle rejoint ainsi l’Ecole d’Architecture de Versailles, l’Ecole Nationale du Paysagisme ou l’Ecole Nationale d’Art de Paris Cergy. Cette école de design ambitionne de former des designers globaux qui se positionneront de la matière à la décision, pour accéder à toutes les responsabilités dans les organisations, y compris les plus hautes.
Avec François Germinet, président de l’université de Cergy-Pontoise, Dominique Sciamma a la double ambition de l’excellence intellectuelle et de la professionnalisation. L’école prépare ainsi les designers à comprendre et intégrer les organisations au travers d’un investissement massif dans les Sciences humaines et l’interdisciplinarité au sein de CY Alliance, dans le cadre d’une intense pédagogie par projet. Elle offre aussi un très grand atelier traditionnel, un atelier de design sensoriel, un Fablab, et une matériauthèque, cofinancé par la Région Ile-de-France. Avec un coût total de 10 500 euros sur cinq ans, (gratuite pour les boursiers), elle est cinq fois moins chère que certaines écoles de design privées. Les deux dernières années du parcours se font en alternance.
L’école s’installe sur le très vert Campus d’IxBlue à Saint-Germain-en- Laye, véritable écosystème High Tech et académique, où Jean Prouvé a d’ailleurs laissé sa trace monumentale dans le Lobby de l’établissement sous la forme d’un escalier qui monte, qui monte… comme la petite université de Cergy.
Les jeunes artistes diplômés d’écoles d’art en 2020 ont jusqu’au 7 février pour déposer leur candidature à la bourse Horizon. 42 lauréats recevront un bourse de 1500 euros.
Destinée à aider des jeunes artistes diplômés en 2020, qui subissent de plein fouet les effets de la crise sanitaire, la Bourse Horizon accompagnera 42 artistes, sélectionnés sur des critères sociaux et artistiques. Cette aide d’un montant de 1500 euros est pilotée par Artagon, association d’intérêt général dédiée au soutien, à la promotion et à l’accompagnement des jeunes artistes émergents et des étudiants en école d’art. Elle est également soutenue par la Fondation de France et l’ Association nationale des écoles supérieures d’art et de design.
À noter, cette action s’inscrit dans la continuité du Fonds de soutien pour les étudiants en école d’art mis en place par Artagon en juin 2020, qui a permis le versement d’une bourse d’urgence à plus de 300 étudiants.
Liens utiles
Page dédiée à la Bourse Horizon sur le site internet d’Artagon
Appel à candidatures
Liste des écoles d’art concernées
Le visuel officiel de la Bourse Horizon a été réalisé par la jeune artiste Sara Sadik. Née en 1994, elle vit et travaille à Marseille, et a été diplômée de l’École supérieure des Beaux-Arts de Bordeaux en 2018. Son travail a notamment été présenté lors de Manifesta 13 à Marseille en 2020 et au Palais de Tokyo en 2019. Ses œuvres, mêlant vidéo, performance, installation et écriture, portent des voix de la jeune diaspora maghrébine en France et de sa culture, telle qu’elle se diffuse dans la musique, la mode ou sur les réseaux sociaux.
Le visuel officiel de la Bourse Horizon a été réalisé par la jeune artiste Sara Sadik. Née en 1994, elle vit et travaille à Marseille, et a été diplômée de l’École supérieure des Beaux-Arts de Bordeaux en 2018. Son travail a notamment été présenté lors de Manifesta 13 à Marseille en 2020 et au Palais de Tokyo en 2019. Ses œuvres, mêlant vidéo, performance, installation et écriture, portent des voix de la jeune diaspora maghrébine en France et de sa culture, telle qu’elle se diffuse dans la musique, la mode ou sur les réseaux sociaux.
Le 1er octobre, le GIL- Syndicat du luminaire réunissait le jury de la 2e édition du Prix du Luminaire. Partenaire du concours, Intramuros vous dévoile les 4 lauréats 2020.
Organisé par le GIL-Syndicat du luminaire en partenariat avec les Ateliers de Paris, le Prix du luminaire est un concours de création destiné aux étudiants des écoles d’arts appliqués. Organisé tous les deux ans, il récompense quatre réalisations dans chacune des catégories suivantes : fonctionnalité, innovation, expression et coup de cœur. Dans le contexte particulier de la crise sanitaire (et de l’arrêt des cours en présentiel au printemps), 20 étudiants ont été au bout de leur démarche et ont présenté un prototype accompagné d’un dossier complet. Le jury, composé de représentants des Ateliers de Paris, du VIA, de DCW, des magazines Lux et Intramuros, et du GIL, a examiné l’ensemble des projets pour en retenir 4 après des discussions.
Tournesol est une lampe à poser dont l’orientation du faisceau lumineux est personnalisable grâce à un système de rotule permettant de faire pivoter la partie supérieure du luminaire.
Prix du luminaire catégorie« Innovation » Rubén Valdez, luminaire Tempo, École Bleue
Pour créer ce luminaire, Rubén Valdez s’est imaginé une sorte de brief : « J’ai voulu m’imposer comme cadre de travail un espace de vie tel que le salon. Dans cet espace, on a souvent plusieurs sources lumineuses en fonction du moment de la journée, du besoin et de l’ambiance. Voilà le problème que j’ai eu envie d’aborder. J’ai commencé par me fixer deux ambiances, deux besoins : Un premier besoin est un important apport lumineux pour tous les moments de vie et de mouvement dans l’espace. Un lustre ou un lampadaire lambda pourraient répondre à ce besoin. Un second besoin correspond à une ambiance plus tamisée, moins lumineuse, pour un moment plus calme, chaleureux. Pour répondre à ce besoin il est courant d’avoir une lumière d’ambiance à poser ou des appliques murales. Deux besoins, deux ambiances, donc deux matériaux qui diffusent la lumière différemment. »
Prix du luminaire catégorie «Fonctionnalité» Nicolas Eymard, luminaire Résonance, École bleue
Pour cette lampe, le créateur s’est inspiré de la transmission et de la captation du son, tout en valorisant un savoir-faire français : » La lampe à poser de la collection Résonance tire sa forme épurée d’éléments organiques tels que les oreilles d’animaux. L’objectif est de créer une présence au sein de la pièce par le biais d’une lumière indirecte, douce et délicate qui attire l’utilisateur sans perturber son confort visuel avec un allumage progressif. L’utilisateur est invité à changer l’intensité lumineuse en fonction de l’ambiance désirée. »
« Coup de cœur » Manon Fernandez, luminaire Sancy, SIGMA Clermont-Ferrand
En imaginant la lampe Sancy, la créatrice souhaitait associer le verre avec un matériau local : » La lave est pour la région clermontoise une part d’histoire et son identité. Sancy met en avant la rencontre entre la lave du Puy de Sancy et le verre. Ces deux matériaux sont riches en silice or le contraste est saisissant. La lave, lourde, vient étreindre ce disque de verre transparent. Une fois la lampe allumée, la magie opère : le verre se constelle de points scintillants tels des astres surplombant la montagne. «