WhiteWall
Présent pour la première fois aux Rencontres photographiques d’Arles, le laboratoire photographique allemand de réputation mondiale WhiteWall soutient la création photographique contemporaine, à travers deux expositions du programme associé du festival.
Auréolé encore cette année, et pour la quatrième fois de son histoire, du prestigieux Tipa (Technical Image Press Association) Award du « meilleur laboratoire photo du monde », WhiteWall participe aux Rencontres photographiques d’Arles par le biais de tirages de très haute qualité d’œuvres exposées dans la cité arlésienne. Depuis sa création en 2007, à Frechen, en Allemagne, par Alexander Nieswandt, WhiteWall a réussi à s’imposer pour l’excellence de ses services comme un acteur fondamental du secteur, et à devenir partenaire de plus de 20.000 photographes professionnels, d’artistes, designers, décorateurs, comme de 500 galeries et de nombreux collectionneurs. Ses tirages témoignent d’une diversité de techniques tant à la pointe que traditionnelles, et d’une pluralité de matériaux, du contrecollage sur Alu Dibond, impressions sous plexiglas ou sur bois, toile-photo, en passant sur les papiers Hahnemühle, baryté ou Ilford, tous choisis de concert avec l’amateur éclairé, le professionnel ou l’institution.
A Arles, à la fondation Manuel Rivera-Ortiz, le concept d’exposition FotoHaus, fondé par ParisBerlin >Fotogroup depuis 2015, présente D’ici, ça ne paraît pas si loin et Sauver les corps, deux expositions au programme, dont WhiteWall a réalisé les tirages. La première montre des photographies du collectif « LesAssociés » qui questionne la notion de territorialité. La seconde analyse avec acuité et de manière plurielle, les conséquences de la crise sanitaire exacerbant les inégalités sociales, les fractures de la société, par le prisme de photographies pour certaines réalisées durant le premier confinement. Et pour l’ouverture de la galerie IRK, nouvel espace d’exposition à l’initiative du magazine international éponyme, dans le quartier historique d’Arles, WhiteWall a réalisé de splendides grands formats d’un récit « le Sud », conçu comme un scénario de cinéma empreint de poésie sensuelle, étrange et sauvage, que l’on doit au duo de photographes French Cowboy – Mia Macfarlane & Julien Crouïgneau.
Présent dans plus de treize pays dans le monde, mais aussi dans les plus grandes villes européennes, dont une adresse Rive gauche, à Paris, WhiteWall a su donner aux tirages photo ses lettres de noblesse et en faire de très beaux objets d‘art. Ce que ne dément pas le festival à Arles !