Horlogerie
La marque de motos BlackTrack et l'horloger Bell & Ross s'allient dans une collaboration limitée. Un partenariat haut de gamme où la puissance de l'automobile et la précision de l'horlogerie font route ensemble.
Pour ce projet en dehors des sentiers battus, les équipes de conception de Bell & Ross et de BlackTrack ont travaillé main dans la main sous la direction de Sacha Lakic. Le designer automobile et industriel à l'origine de la marque de motos, propose un projet complémentaire où élégance et raffinement vont de pair avec la vitesse et l'adrénaline.
Deux objets en résonance
De cette collaboration née d'une passion pour l'innovation, et la précision esthétique, a résulté une alchimie technique au design singulier. Les couleurs, les textures ou encore les finitions se font écho. Tandis que le monde de l'horlogerie a puisé son inspiration dans ce qu'incarne le design de BlackTrack, à savoir la puissance et la vitesse, Sacha Lakic s'est quant à lui inspiré de l'ingénierie du temps. Deux domaines éloignés qui se complémentent jusqu'à s'assembler. Car par-delà l'inspiration, la moto a été conçue pour devenir l'écrin de la montre avec un emplacement dédié, au centre de l'appareil. Une synchronie parfaite pour que chaque instant compte.
Entre technicité et sens du détail
Véritable fusion de savoir-faire et de créativité, cet ensemble s'inscrit comme une célébration de la mécanique. Pensé comme un inséparable duo, les corrélations entre ces deux objets sont nombreuses. Parmi elles, les détails du cadran faisant écho aux éléments de crénage de la moto, la carrosserie imprimée en 3D et son revêtement en céramique évoquant la finition satinée de la montre, ou encore le numéro de châssis gravé au dos du boîtier. Mais ce sont plus globalement les composants de cette esthétique soignée et radicale passant par des lignes rigides et des volumes facettés, qui procurent une identité si forte à l'ensemble.
Une ligne d'accessoires et d'œuvres complémentaires
Désormais riche de cinq années dans le domaine de la conception automobile, BlackTrack se diversifie avec une ligne d'accessoires signés par son fondateur, Sacha Lakic. Puisant son inspiration dans les méandres des moteurs, de la vitesse et de l'adrénaline qui s'en dégage, le designer inscrit sa gamme dans un univers particulièrement ancré. Lunettes en acétate confortable sous un casque lui-même conçu en partenariat avec Quark, bagages ergonomiques et foulards en soie, sont autant d'éléments fabriqués en Europe qui viennent ainsi enrichir l'univers BlackTrack.
Le nouveau numéro d’Intramuros consacre sa rubrique inspirante « Design à 360 ° », à des produits tout juste sortis en 2022. Mobilier, accessoires, mode, véhicules… découvrez les 40 coups de cœur de la rédaction dans le magazine ! En voici un dernier extrait.
Fauteuils Ellegenza, Kartell
Présentés au Salon de Milan, les fauteuils Ellegenza désignés par Philippe Starck pour Kartell sont revêtus de tissus chiné recyclé – dont 45% de coton recyclé issus de l’industrie – et de faux cuir. Les pieds sont noirs ou blancs en matériau recyclé et recyclable.
Vase Trudaine, Popit
Les vases de la collection Trudaine imaginée par Tom Poinsot pour Popit Paris sont uniques et issus d’anciennes cloisons en plâtre.
Suspension Venus, 13Desserts
Entre surface ondulée et courbe voluptueuse, la suspension Venus de Sophia Taillet est un luminaire en verre soufflé qui explore les techniques traditionnelles de soufflage du verre.
Royal Oak, Audemars Piguet
Audemars Piguet propose une nouvelle édition limitée de la Royal Oak automatique 34 mm en céramique noire, dont le design a été pensé par Carolina Bucci.
Nike Ria 09 concept, design Kacimi Latamene
« Je voulais rendre hommage à la NIKE AIR MAX 90, en nous invitant à nous interroger sur la forme et la fonction de la chaussure d’aujourd’hui et de demain (…) J’illustre à travers mes concepts comme La Nike Ria 09, une nouvelle approche globale du design où le monde virtuel et réel se rencontrent et ne font plus qu’un. » expliquait Kacimi Latamene à propos de son concept.
Pour célébrer son 120e anniversaire, l’horloger espagnol Festina dévoile un modèle spécial en édition limitée.
Si on ne peut suspendre le cours du temps, on peut au moins le célébrer. Pour ses 120 ans, Festina dédie une montre en édition limitée pour les passionnés de la marque, synonyme de qualité, de style et de précision. Un modèle automatique, dont la production est limitée pour la France avec seulement 120 pièces numérotées pour homme et 120 pièces numérotées pour femme. Des pièces authentiques, caractérisées par des standards techniques élevés, une qualité « France Ebauches » et un design raffiné.
Un modèle authentique et singulier
Disponible en version homme – F1902/1 – et femme – F0120/1 -, chaque modèle est le résultat d’une conception haut de gamme : la montre est dotée d’un boîtier en acier inoxydable de 41,5 mm pour l’homme et 34 mm pour la femme, d’une lunette cannelée et d’un bracelet en cuir marine façon crocodile, surpiqûres blanches conférant une touche de style artisanal.
Pour célébrer son 120e anniversaire, l’horloger espagnol Festina dévoile un modèle spécial en édition limitée.
Le nouveau numéro d’Intramuros consacre sa rubrique inspirante « Design à 360 ° », à des produits tout juste sortis en 2022. Mobilier, accessoires, mode, véhicules… découvrez les 40 coups de cœur de la rédaction dans le magazine !
Table d'appoint Neumann, Objekte Unsere Tage
Entre table d’appoint et tabouret, Neumann est fabriqué à partir d’une seule tôle d’acier pliée et revêtue de poudre. Imaginée par David Spinner pour OUT Objekte Unsere Tage, la table d’appoint Neuman joue avec les perspectives puisque sa silhouette déstructurée est confectionnée de façon à ce que l’on puisse observer une forme différente selon le point de vue.
Set Cala Blue, XLBloom
Le Set Cala, designé par Ambroise Maggiar pour XLBloom est un ensemble qui joue sur les variations d’épaisseurs du verre soufflé à la bouche et effets de transparence inspirés par la fluidité de l’eau.
One-Tree Project, SCP
Au London Design Festival, SCP a fait appel à dix designers britanniques pour le « One-Tree Project » qui avait pour objectif de créer des meubles et des objets à partir d’un frêne abattu.
Table Fibonacci, Theoreme Editions
La table Fibonacci éditée par Théorème Editions et imaginée par Adrien Messié est conçue pour rassembler 8 personnes, mais permet aussi à des groupes plus restreints de se réunir étroitement grâce à sa forme. Une table faite en bois laquée et céramique, fabriquée à la main par des artisans en France.
Montre G-Shock Série 2100 GA-2100HUF-5A, Casio
Le skateboarder Keith Hufnagel s’est associé à G-SHOCK pour célébrer le 20e anniversaire de la marque HUF et propose une collaboration inédite avec le modèle Série 2100 GA-2100HUF-5A.
Mixeur Cordless, Bamix
Petit robot de cuisine tout-en-un sans fil, le Cordless de Bamix est un modèle à la batterie très puissante (pour mixer, hacher, émulsifier, râper et pulvériser).
Retrouvez la sélection complète de la rédaction dans le numéro 214 d’Intramuros, disponible en kiosque, dans les librairies et concept stores partenaires et sur notre boutique en ligne.
Si le crédo de la manufacture Roger Dubuis « No rules our game » (Notre jeu ne répond à aucune règle) ouvre le champ des possibles, la maison ne déroge pas à certains critères spécifiques à la haute horlogerie suisse. L’enfant terrible de la création horlogère a trouvé son équilibre entre passé, présent et futur en proposant une vision audacieuse, voire effrontée dans le monde merveilleux de la mesure du temps.
C’est au sein de la manufacture genevoise Patek Phillipe que l’horloger Roger Dubuis a officié avant de fonder sa propre marque en 1995. Roger Dubuis donne vie à des montres d’exception en laissant libre cours à des designs de caractère. À peine quatre ans plus tard, les créations sortant de la maison sont désormais marquées du Poinçon de Genève, sceau de qualité horlogère certifiant d’un standard d’excellence et emblème de la haute horlogerie genevoise. Ce gage de reconnaissance ultime, décerné à une maison aussi jeune, est notamment dû à la mise au point de mouvements propres à la marque. Aujourd’hui, 93% des montres manufacturées sont certifiées Poinçon de Genève, mais la maison tend à ce qu’elles le deviennent à 100% dans les années à venir.
Cinq ans plus tard, Richemont intègre la manufacture en tant que filiale du groupe de luxe, un tremplin qui permet à l’entreprise l’accès à des collaborations en interne. De nouveaux contrôles sont renforcés afin de développer un niveau de précision plus pointu. Ainsi, cinq ans après le lancement de l’Excalibur, au Poinçon de Genève vient s’ajouter la certification chronomètre COSC (Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres).
Dans le tourbillon de la haute manufacture
En 2003, Roger Dubuis met au point son propre balancier spiral, un régulateur qui donne la précision à une montre grâce à des oscillations caractéristiques. La manufacture devient maîtresse d’un champ de création de plus en plus important, et deux ans plus tard, elle met au point son fer de lance, un des piliers de la marque : Excalibur. La montre se décline en 28 modèles, tous squelettés, avec un tourbillon à répétition minutes ainsi qu’un double tourbillon, véritable alliance entre prouesses techniques et design impertinent. La signature des montres est reconnaissable à son étoile stylisée, intégrée dans la boîte skeleton et trois cornes, interface entre le boitier et le bracelet.
Une bienfacture extravagante
Chez Roger Dubuis, on ne répond pas à une demande, elle est créée. C’est sans doute ce qui a rendu son succès fulgurant. La jeune marque produit peu de pièces par an, et le chiffre est d’ailleurs gardé confidentiel. Dans sa quête d’identité esthétique, la maison partage des valeurs communes avec la branche Squadra Corse, secteur dédié à la course, du constructeur automobile Lamborghini. En 2018, ils développent un partenariat qui va au-delà de l’apposition d’un nom sur un objet. Une nouvelle Excalibur nait alors, toujours en quête de perfection extravagante : la Spider Huracan.
Dans un autre genre, le fabricant s’est associé à l’artiste japonais Hajime Sorayama, reconnu pour sa quête perpétuelle de la beauté du corps et de la machine. De l’association de leur talent respectif nait l’Excalibur Sorayama monobalancier, sur laquelle les deux signatures se distinguent tout en fusionnant. De la course automobile à l’art contemporain, tout passe par la Recherche et Développement de la manufacture. Ici, le mot d’ordre est de s’inspirer du passé tout en se tournant vers le futur et l’impertinence. L’incubateur explore, tout en travaillant sur la légèreté, la gravité, ainsi que sur la recherche de matériaux innovants. Roger Dubuis remplace peu à peu l’acier par le titane plus léger et plus résistant, intègre le carbone tressé ou pressé dans l’élaboration de ses boîtiers et propose aujourd’hui une montre réalisée à base de cobalt.
Et si la perfection de l’hyper horlogerie a un coût, c’est qu’elle est réalisée selon les normes de bienfacture et de fiabilité les plus strictes, un hommage au dieu Chronos avec un temps qui passe vers un futur tout en excès.
Watches&Wonders Geneva, le salon de l’horlogerie de Genève qui s’est tenu du 30 mars au 5 avril 2022, a dépassé toutes les espérances et s’est clôturé avec les meilleurs chiffres.
Les marques internationales ont encore une fois démontré leur capacité à créer et à innover avec une exposition de 40000 m2 de montres et bijoux et des millions de vue sur les réseaux sociaux. Sa première édition remonte à 1991 avec cinq marques installées sur 1 000 m2 à l’initiative de Alain Dominique Perrin, alors PDG de Cartier. Le SIHH, Salon International de la Haute Horlogerie, a été officiellement renommé Watches&Wonders Geneva en 2020, parallèlement à l’introduction d’une nouvelle formule.
L’industrie de la montre a encore une fois montré sa force, réussissant à réunir 38 marques sur des stands à la hauteur de leur chiffre d’affaires. Sous cette nouvelle appellation Watches&Wonders Geneva, l’industrie suisse a confirmé la force de ses maisons qui ont réussi à vendre leurs nouveautés, montres, bijoux, automates…avant même que le salon ne soit terminé, laissant traîner un petit sentiment de pénurie. 22000 visiteurs, 1000 journalistes, ont assuré à eux seuls 30000 nuits sur Genève. Parmi les 38 marques, 19 étaient de nouveaux arrivants faisant vibrer la semaine d’un dynamisme extraordinaire avec des échanges sur la durabilité, l’innovation et l’expérience client. Le LAB exposait quinze initiatives des marques sur de nouveaux moyens de calculer l’heure, l’utilisation de nouveaux matériaux.
L’impact de cette réunion internationale a été estimée à 350 millions de personnes avec 800000 posts mentionnant le hashtag watchesandwonders et permettant à 2600 journalistes du numérique accrédités (les digital journalists) de suivre les événements depuis le « salon live ». Grâce à ce format « physical et digital », en présentiel et en video, l’industrie horlogère a démontré sa capacité d’adaptation à l’évolution des mœurs et sa résistance aux menaces de Covid, avec agilité et créativité.
Côté tendance, le platine se conjugue à l’or jaune dans des accords très populaires. Le Titane se répand. Les couleurs de base restent le bleu et le vert même si le noir version mat ou brillant fait un retour remarqué. Le orange, le corail et le rouge se limitent à quelques pièces tout comme le mineral, le beige et les ombres vert forêt. En attendant l’édition 2023, toute la profession attend avec impatience le Watches and Wonders Shanghai qui doit se tenir du 7 au 11 septembre 2022, si un reconfinement n’est pas envisagé.
Ambiance forestière
Van Cleef, sous la direction de Nicolas Bos depuis 2013, avec une scénographie de Jean-Baptiste Auvray brillait par l’originalité de son stand. Ambiance forestière et aquatique assurée grâce au travail des 12000 pampilles en verre coulé de Matteo Gonet, vitrier à Arlessheim en Suisse et Salviati 1859, verriers de Murano. Le visiteur était invité à se promener et à se perdre dans un bois habité d’une nature bienveillante où animaux et pièces horlogères et joaillerie cohabitaient grâce au savoir-faire d’artisan d’art à la maîtrise parfaite qui de la marqueterie de koto pour les troncs des arbres, qui du tuftage pure laine naturelle du massif d’herbes hautes ou dans la perspective d’un sous-bois avec papillons, fleurs et oiseaux sur de grandes tapisseries en point d’Aubusson. Un plongeon dans un décor fort et immersif respectant le niveau de qualité de la marque. Pour Jean-Baptiste Auvray, « l’utilisation de l’artisanat dans l’architecture même temporaire permet de travailler avec des matériaux moins transformés, plus proche de leur état et de leur localisation naturelle et rend le projet par conséquent plus durable. Moins polluant également avec des éléments qui seront utilisés comme gisement dans la suite de leur cycle de vie. »
La majorité des fabrications réalisées seront conservées et réutilisés pour de futures opérations. » Les valeurs du travail de la main, de la matière sont portées depuis plus de 10 ans par l’agence Faire. Elles lui permettent de réaliser des projets importants pour de belles maisons qui adhèrent à sa vision de l’architecture et comprennent les enjeux et les avantages de travailler au plus proche des artisans d’art. C’est ainsi que la marque Ulysse Nardin, fondée en 1846, lui a également demandé de faire la scénographie de son stand, tout en verre, dorure et lumière pour des montres caractérisées par la maîtrise exceptionnelle du silicium. La Black Ceramic en 45 mm associe titane et DLC noir et case en or rose. Les six vis sont visibles à travers un verre saphire légèrement bombé qui indique les heures et les minutes dans un mouvement de rotation permanent. Le bracelet en peau d’alligator noir ou en veau doré est en série limitée à 75 éditions. Pour marquer le stand dans lequel personne n’osait entrer, le CEO, Patrick Pruniaux, avait fait placer un surprenant requin en métal aux dents longues.
Des temporalités contraires
Dans le Carré des Horlogers, Trilobe, la toute jeune marque de Gautier Massoneau et Volcy Bloch, DG, présentait une folle Journée, une montre à trois plateaux en rotation à 10.2 mm de hauteur, sous un globe en cristal, une réelle prouesse horlogère. Dans ce stand signé Procept, concepteur et réalisateur d’événement, qui se voulait casser les codes du luxe et remettre en question quelques habitudes comme lire l’heure avec des aiguilles, ce sont surtout les assises, Rock on the Moon, quatre boules de mousses enveloppées de textile de Toyine Sellers, (Atelier of Textile and Design) et dessinées par Fabrice Ausset, qui faisait réagir un public en recherche de confort, sur des rochers séculaires pour lire un temps novateur et associer des temporalités contraires.
Sur le stand Hermès, la marque faisait la part belle à l’art numérique avec une œuvre de l’artiste Sabrina Ratté. « Dans cette installation, explique-t-elle, je voulais évoquer la manière dont les nouvelles technologies comme les images satellites font évoluer notre perception du temps et de l’espace. » Laurent Dordet, directeur général de Hermès Horloger précisait quant au positionnement de la marque : « Nous essayons de nous adresser non pas à une génération mais à toutes les générations. Nous créons les objets dans lesquels nous croyons et qui nous font plaisir. » Innovation, transparence, économie circulaire et bien sûr développement durable étaient au cœur de ce salon du Metaverse.
Connectée, en céramique, en alliage… entre haute technologie et savoir-faire artisanal, la montre reste un objet personnel, fort… et symbolique par sa fonction de Garde-Temps. Sélection de propositions aussi diverses qu’intrigantes.*
*cette sélection vient en complément de l’article « La Montre, ce Garde-Temps » publié dans le numéro 210 d’Intramuros.
Rado - True Thinline Les Couleurs
Rado propose une collection de montres en céramique haute technologie, La True Thinline Les Couleurs TM Le Corbusier qui décline toutes les couleurs développées par le célèbre architecte en 1931 et en 1969. 63 couleurs, une édition limitée de 999 exemplaires par couleurs. Neuf nouvelles couleurs sont à découvrir cette année. Swiss Made.
Tudor - Black Bay Ceramic
Le nouveau modèle Black Bay Ceramic affiche l’heure exacte sur un boîtier en céramique noir de 41 mm, calibre Manufacture MT5602-1, certifié par le COSC et METAS, grâce à des chiffres et des aiguilles fluorescentes visibles de jour comme de nuit. Son bracelet hybride en cuir et caoutchouc lui confère une idée de confort inégalé. Elle est étanche jusqu’à 200 m.
Rolex- Datejust 36
La Datejust 36, une Oyster 36 mm en acier Oystersteel est dotée d’un cadran vert olive au décor de palmier qui fait toute l’identité de la marque. L’acier Oystersteel appartient à la famille des aciers 904L, un alliage utilisé dans les secteurs des hautes technologies où la résistance à la corrosion doit être maximale. Elle conserve sa beauté même dans les environnements les plus hostiles. Son prix : 6650€.
Dior- Montre D
Au bras d’Anya Taylor-Joy, l’actrice phare de la série Le Jeu de la Dame, ne doit plus que figurer la montre D de Dior, version satine ou rose, mouvement automatique ou mouvement quartz, remise au goût du jour par Maria Grazia Chiuri, à la tête des collections féminines depuis juillet 2016. De 2000 à 49 500 € pour la dernière version Rose, incrustée de diamants.
Chanel - Montre J12
J12, une montre iconique équipée du calibre 12.1, en céramique haute résistance, d’un noir éclatant ou d’un blanc intense. Dessinée à Paris et manufacturée à la Chaux-de-Fonds, Jacques Helleu révéla la première J12 en 2000, après 7 ans de réflexion. Inspirée des lignes élancées des voitures de course et des voiliers de l’America’s Cup, redessinée par Arnaud Chastaing, elle incarne l’allure Chanel. Retrouvez l’interview d’Arnaud Chastaingt dans le numéro 200 d’Intramuros.
Seiko - 44 Grand
La 44 Grand de Seiko fait partie des plus beaux cadrans que l’on peut voir Place Vendôme où les Japonais avec leur savoir-faire de Maîtres Takumi se sont installés en juin 2020. Dissociée de la marque Seiko, Grand Seiko a défini la grammaire du design Grand Seiko en 1967 sous l’impulsion du designer Taro Tanaka. C’est la troisième marque sur son segment.
Cartier – Montre mitaine Clash (Un)limited
Cartier, montre mitaine, pièce unique de la collection Clash [Un]limited, un bijou seconde peau réalisé en impression 3D qui a nécessité 277 heures de travail. Mitaine, or rose, diamants. Photo © Greg Gonzalez
Retrouvez l’interview de Marie Claude Cérède, Directrice Création Horlogerie chez Cartier, dans le numéro 209 d’Intramuros.